8 juin 2011
Hélène Doron
Chaque chose – tu la mâches l'avales, secoues la tête - chaque chose fixe en elle une feuillée de rêves qui s'effilochent sur les murs des ans, fondent, une fois rendues au bout de leur ombre. Mais le monde, - regarde le monde s'infiltre par ta fenêtre...