Otto Schoff
Nous laissons glisser les vagues du désirSur nos corps enlacés et frémissants !
Nous avons délaissé les braises à leur chatoiement nocturne,
Nous avons délaissé la pluie à ses inévitables chagrins,
Nous sommes loin chacun dans le regard de l’autre
Là où la nuit nous illumine.
Poème de Leila Zhour (Algérie)